Lors de l'interview, le ministre arménien des Affaires étrangères a tenté de trouver des excuses pour justifier l'agression de son pays contre l'Azerbaïdjan.
Cependant, la journaliste Christiane Amanpour a rappelé à plusieurs reprises à Mnatsakanyan quatre résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU exigeant le retrait immédiat des forces d'occupation du territoire azerbaïdjanais. Elle a également rappelé la résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies de 2008 reconnaissant le retrait immédiat des forces arméniennes des territoires occupés de l'Azerbaïdjan, du Haut-Karabagh et des territoires adjacents en tant que partie intégrante de l'Azerbaïdjan et le droit du peuple azerbaïdjanais de rentrer sur leurs terres natales.
Ces paroles de la journaliste ont confondu Zohrab Mnatsakanyan. Mnatsakanyan était encore plus embarrassé quand Amanpour lui a rappelé les déclarations nationalistes et provocantes du Premier ministre arménien Nikol Pashinyan, telles que «Le Karabagh, c'est l'Arménie».
«N'est-ce pas une condition pour que l'Arménie veuille annexer le Karabakh?» a-t-elle demandé au ministre arménien.
Selon Mnatsakanyan, en faisant de telles déclarations, Pashinyan ne pensait qu'au «rôle de l'Arménie dans la sécurité de nos compatriotes du Haut-Karabagh».
Bien que Mnatsakanyan ait tenté de sortir de la situation en donnant des réponses absurdes, il s'est mis dans une situation ridicule en tant que Pashinyan.
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